Recettes estivales : miam miam et papotages

 

Fêtons les beaux jours avec quelques recettes estivales !
Les recettes que nous vous proposons ici sont végétaliennes, simples, rapides et surtout délicieuses.

La cuisine végétarienne n'est que la mise en pratique d'une éthique : en majorité on ne choisit pas le végétarisme par amour des légumes, mais par refus de tuer.

Au début, ce passage d'une manière de cuisiner à une autre peut dérouter, et parfois même décourager. En effet, non seulement il faut changer ces habitudes, mais en France, il n'y a pas de repas végétariens dans les collectivités, souvent dans les restaurants les menus sont indigents (frites et salade de tomates, ça lasse) et l'entourage n'est pas toujours trés compréhensif.

C'est pourquoi, en plus de quelques recettes, l'édito d'aujourd'hui est également l'occasion parler de différentes expériences du végétarisme : de la cuisinière émérite à l'amateur de bonne cuisine faite par les autres, en passant par les fans de plats préparés. Les végétarien-ne-s sont tous différents, donc notre manière de vivre notre végétarisme est forcément différente. Le végétarisme est souvent associé à l'idée d'un régime sain, plein de laitue et de carotte. Ou au contraire le végétarisme (ou pire, le végétalisme) est accusé de tous les maux et à en croire certains, nous ne devrions même pas être vivant-e-s.
La vérite, c'est qu'il a autant de végétarismes que de végétarien-ne-s : nous pouvons manger sainement et faire du sport, ou être patatophile , il y en a qui fument, et d'autre pas, il y en a qui aiment boire de l'alcool, et d'autres pas.

Pour aller plus loin
Pour découvrir d'autres recettes et en savoir plus sur la diététique, consultez notre rubrique pour débutant-e-s.
Pour connaître les bons plans végétariens à Bordeaux, faites un tour sur le site de Veggie Bulle, et pour avoir un panorama illustré des laits, charcuteries, etc., végétaux, cliquez sur l'album des végé-gourmandes.

 

Recettes estivales

ronde de pâtés : hoummous, pâté campagnard, caviar d'aubergines, tartare d'algues

plats : brochettes, gaspacho

boisson : vegan milkshake

dessert : rochers coco

idées de livres de cuisine végétarienne : Recettes végétariennes du Liban, Pâtés végétaux

 

La cuisine végétarienne et moi

Vive les pâtes !

Devenir végétarien n'a pas changé grand chose pour moi au niveau de la cuisine. Enfin si au lieu de réchauffer à la casserole des boites qui contenait souvent des bouts de cadavre, je réchauffe des boites qui n'en contiennent pas.
Le point négatif c'est que souvent en mangeant des pâtes je trouve que le gruyère râpé ça manque quand même... Et que le parmesan au soja ça ne remplace pas. Mais avec la levure que j'ai découvert en devant végétarien, ça aide à faire diversion aux papilles.
Au début je me demandais s'il n'y avait pas des risques de carences en devant végétalien, alors je me suis motivé à manger plus varié, et aussi à manger plus de légumes (en boites). Du coup je mange sûrement plus sainement qu'avant.
Heureusement qu'avant de devenir végétarien je n'ai pas rencontré quelqu'un qui m'ait dit, comme j'ai souvent entendu depuis "tu verras c'est super de devenir végé, tu te mets à expérimenter pleins de nouvelles recettes, à découvrir de nouveaux aliments, etc." Ca m'aurait sans doute sacrément refroidit ! Si devenir végétarien ça voulait dire qu'il fallait se mettre à cuisiner, bof bof pour moi. (Antoine)

Pour moi, le végétarisme a tout changé. Je déteste cuisiner, pour moi, c'est une perte de temps pure et simple; donc les recettes ont toujours été un calvaire dès la première ligne. J'ai eu une tendance prononcée au crudivorisme.
Maintenant je cuisine pour prouver que le végétalisme est une cuisine savoureuse, même sans fromton dans tous les plats. Pour les oeufs dans les pâtisseries, c'est pas ça. En fait, grosso modo, c'est de la chimie. (Olivier)

 

Gourmande

Passer à la cuisine végétarienne n'a pas changé grand chose pour moi. D'une part parce qu'à 15 ans, je ne cuisinais pas beaucoup, d'autre part parce que ma famille mangeait en majorité végétarien. On ne m'a jamais forcée à manger quelque chose que je ne voulais pas. Par exemple je ne voulais pas manger de poisson et ça n'a jamais posé de problème. Je me suis mise progressivement à cuisiner et j'ai découvert que j'aimais ça (surtout parce que j'aime manger, j'avoue ). Entre le moment où j'ai décider de devenir végétarienne et la dernière fois où j'ai mangé de la viande, il s'est écoulé environ deux ans, parce qu'il m'arrivait, sous la pression de l'extérieur (repas dans la belle-famille) ou par gourmandise (les saucisses grillées !) d'en manger deux fois dans l'année.

Décider de devenir végétarienne a été pour moi un grand plaisir, parce que je culpabilisais à chaque fois que je mangeais un animal. Quand j'ai découvert ce qui se passait pour produire des oeufs et du lait, j'ai progressivement changé ma manière de cuisiner. Je mangeais régulièrement du fromage, notamment par peur des carences. Mais à cause (grâce ?) à un taux de cholestérol trop élevé (un héritage dont je me serais passée), j'ai passé le cap du végétalisme, sinon j'aurais dû suivre un traitement dès mes 30 ans. Grâce au végétalisme, mon cholestérol est maintenant à un niveau normal.
Là encore le changement c'est fait sans trop de problème et avec le plaisir de découvrir de nouvelles manières de cuisiner (la quête du cake qui ne s'effrite pas, de la gauffre légère, ...). Cela a été l'occasion de me rendre compte que le lait ne sert pas à grand chose dans les recettes, mais que pour les oeufs, c'est plus compliqué. Finalement, j'ai sûrement plus réfléchi à la chimie des aliments que si je n'avais pas été végétarienne.

En cours de route, vers 25 ans, je n'ai pas eu de bol, je suis devenue allergique au lait de soja et à certains fruits Les allergies, c'est bien plus emmerdant que le végétarisme ou le végétalisme, parce que là ce n'est pas un choix. Et quand on me dit qu'en étant végétalienne, je dois me bourrer de soja, ça me fait rire. C'est étranger d'ailleurs comment certains prennent un air dégoûtée en regardant le plats végétariens, tout en demandant "c'est quoi ? du soja, des algues, un truc bio bizarre ? beuuurrkkk" Alors qu'ils ne se posent jamais la question face à un plat plein de sang, de veines, de muscle, d'os et de nerfs.

Petit bonus : l'économie réalisée en devenant végétarienne puis végétalienne me permet d'acheter bio, ce qui est important pour moi et qui me donne la possibilité d'acheter de la végé-charcuterie sans me ruiner.
Au fil du temps, j'ai peaufiné mes spécialités, ainsi que mes recettes de tous les jours, faciles et rapides. J'adore quand mes ami-e-s ou ma famille me dit "Tu as amené ton pâté ?", "Tu me fais des cookiiiiiiies ?"

Souvent on colle une image de "bon vivant" aux personnes mangeant de la viande, sous-entendant que si on choisit le végétarisme, c'est parce qu'on n'aime pas manger, qu'on doit être triste, etc. C'est étrange de qualifier de "bons vivants" ceux qui méprisent la souffrance et la mort des autres... Mon plaisir, il est dans la bonne cuisine, sans cruauté et inventive. (Virginie)

 

Mon père, ce cuistot

Mon passage au végétarisme s'est fait à l'âge de 12 ans, en même temps que mes parents. A cet époque, j'étais un gros mangeur mais je ne portais aucun intérêt aux coulisses de la cuisine. J'étais même incapable de casser un oeuf. Heureusement, mon père a toujours été un bon cuisinier et les plats végétariens qu'il a mis au point à la maison m'ont permis de ne pas avoir à me préoccuper de tout celà. ouf !

Lorsque je suis devenu étudiant, j'ai dû me rendre à l'évidence : je ne savais qu'ouvrir des boîtes ou faire cuire des pâtes. Cela avait un double effet négatif : d'une part, je me nourrissais de manière assez peu variée, et d'autre part, mon entourage n'avait pas forcément une image savoureuse ou attrayante de mon alimentation. C'est pourquoi j'ai passé ces années de semi-indépendance à rentrer le plus possible chez mes parents pour me jeter sur le couscous végétarien, le brouillé de tofu provençal et autres crumbles aux pommes que mon père proposait dans son restaurant bio & végétarien.

Mon appétit et ma gourmandise étaient intacts, j'avais pris goût à de nouvelles saveurs ; mais mes talents culinaires étaient toujours équivalents au vide intersidéral. Tout cela, faute d'un père trop bon cuisinier.
Mes progrès ont réellement commencé lorsque j'ai vécu totalement seul et que j'ai souhaité expérimenter des plats sans le regard de cuisiniers intransigeants. J'ai pu enfin appprendre à faire plaisir aux autres en préparant quelques plats moi-même, sans l'assistance de mon éternel cuisinier.
Aujourd'hui, mes productions sont peu nombreuses, mais les cakes à la banane sont une spécialité reconnue dans mon végé-entourage, ce qui ne peut que m'inciter à continuer.(Kostia)

 

Militante

Je suis devenue végétarienne à l’age de 15 ans, dans une famille où la viande était (et est toujours) omniprésente à tous les repas. La transition ne m’a posé aucun soucis puisque j’ai tout simplement laissé les plats de viande de côté pour uniquement manger l’accompagnement, sans aucun sentiment de frustration, bien au contraire ! Quel bonheur de se sentir enfin en paix avec sa conscience, de mettre ses actes en conformité avec ses convictions et de l'affirmer haut et fort ! (cependant, il me restait encore le poisson à arrêter…)
Même pendant mes années étudiantes, où j’ai vécu 2 ans seule, puis avec mon ami, j’ai toujours fonctionné de la même manière : absolument rien pour remplacer ou compenser la viande. A la maison, au restau U, chez les copains, je me contentais simplement de l’accompagnement, sans jamais ressentir le moindre manque ou la moindre frustration.

Puis, il y a 3 ans, j’ai décidé de réellement m’impliquer dans le militantisme pour le droit des animaux et là, il est évident que pour être crédible et cohérente avec moi-même, stopper le poisson et s’orienter vers un mode de vie végétalien était devenu incontournable ! Dur dur d'arreter les langoustines, les crevettes, le saumon, je dois bien l'avouer, mais ma
décision était prise, et du jour au lendemain, tous ces animaux sont devenus bannis de mon alimentation !
Comme tout le monde, j’ai eu un peu peur des fameuses « carences » dont la société nous rebat les oreilles, et je me suis mise à faire des recherches sur le net pour m’informer sur la manière de remplacer les fameuses protéines, le calcium… J’ai donc découvert les boutiques bio, les steaks de soja, le seitan, le tofu, les saucisses, le jambon, le pâté végétarien…

Aujourd’hui, tous ces produits font partie intégrante de notre alimentation quotidienne à mon ami (omnivore) et moi. Mais je dois bien reconnaître que si je m’écoutais, la totalité des repas de la semaine se résumerait à des pâtes, des pâtes et encore des pâtes, qui reste de loin mon plat préféré !! J’essaie quand même de me raisonner et au quotidien, nos repas de la semaine (que nous préparons ensemble le week-end et congèlons pour la semaine) se composent de plats relativement variés et équilibrés : lasagnes végétalienne, purées de tous les légumes possibles (pomme de terre, courgettes, carottes, pois cassés, épinards, petits pois, lentilles…), tomates, aubergines ou courgettes farcies aux steack de soja broyé, croque-monsieur, pizzas, gratins, tourtes, tartes, soufflés de légumes divers…
Et il y a peu, mon ami m’a offert un livre de recettes de crumbles aux légumes ! Excellente idée puisque que ce plat simple, rapide, vegan et délicieux peut s’accommoder avec tous les légumes ! Vu que nous recevons souvent des amis (omnivores) à la maison, j’accorde une énorme importance à toujours être le plus inventive dans les recettes (souvent indiennes et asiatiques) que je leur prépare, le but étant qu’ils s’aperçoivent que la cuisine végétarienne est tout sauf monotone et peut s’avérer au contraire, -en plus d’être bien plus saine- excellente, variée et très créative ! Que mes amis gardent un bon souvenir de la cuisine végétalienne (qu’il découvre chez nous), est aussi une manière très importante pour moi de militer (par le biais des papilles gustatives) !! (Ludivine)

 

Inventive

Ici, à la maison, c'est moi qui fait m'occupe de la bouffe sauf que mon mari s'y met un peu, justement pour faire connaître la bonne nourriture végétalienne...aux non végétariens.... Pour moi, j'ai un peu galéré au début pour l'équilibre alimentaire et aussi avec ce fameux aliment blanc carré au goût de plâtre quand on ne sait pas le cuisiner... L'auriez vous -deviner? , je parle du tofu....Bref, après avoir surfé sur le site de l'alliance végétarienne et m'offrant le bonheur du végétarisme de Danièle SARTENSYI, et Ma cuisine végétarienne de Garance LEUREUX, je m'éclate avec toute la diversité des produits et des recettes qui sont plus que nombreuses, équilibrées, étonnantes, appréciables, goûteuses, bref, manger végétar/lien c'est surper bon , ça ne pèse pas dans l'estomac et surtout les animaux sont épargnés...

Ainsi, j'ai / nous avons découvert les graines germées qui apportent plein plein de protéines, les algues également, la fabrication des pâtés végétaux, des légumes oubliés tels que le panais, le pâtisson, des courges comme la butternut... Puis, le panisse, le pouprier, le plantain, la levure, le gomasio, le sojami, la caroube, les graines de pavot, le quinoa, le fonio, le sarrasin... J'aime beaucoup cuisiner la cuisine végétar/lienne sauf les gâteaux (ça c'est plutôt le domaine de mon mari, finalement, on se complète), mais il faut que j'ai le temps, l'espace et être seule...

Tiens, je vous cite, en vrac, quelques de mes recetes que j'aime bien faire et refaire sans me lasser et aime à faire découvrir.... Soupe à la butternut, dall aux lentilles corail, entrée aux mille saveurs, gratin dauphinois, panisse à l'ail et au persil, pâté végétal, pomme de terre au four au cumin, pain aux olives noirs et aux pignons, galettes au sarrasin et à la tomate, hoummous, curry de tofu aux pistaches. Je vous ai donné faim ?
Tiens, petite anecdote : ce dimanche, nous avons rencontré un couple d'amis omnivore et nous leur avons fait goûter notre pâté végétal... ma copine le goûte et semble trés étonnée de la resemblance avec la texture et le goût de la viande. D'ailleurs, sa première reflexion a été : " on dirait de la viande" et il m'a demandé la recette... Comme quoi... A côté de ça, elle nous a sorti le pack de tranches de poulet fumé... sa fille, agée de 2 ans, l'a mangé avec ses doigts, direct comme ça ... J'ai eu dû mal à la regarder... J'ai dit "pauvre poulet" ... Aucune réponse... (Laurence)

 

 

Recettes estivales

 

hoummous

(rapide, surtout si vous choisissez des pois chiches en boîte)

Ingrédients
150 gr de pois chiches en boîte ou mis à tremper la veille
2 cuill. à soupe de purée de sésame (tahin)
jus d'un citron
2 cuill. soupe d'huile de sésame (à défaut, de tournesol)
1 pincée de paprika
sel
3 gousses d'ail (facultatif)

- Si vous utilisez des pois chiches mis à tremper : faites cuire les pois chiches à l'eau bouillante ou à la vapeur jusqu'à ce qu'ils soient tendres.
- Mettre tous les ingrédients dans le bol mixeur, mixez et ajoutez de l'eau jusquà obtenir une crème lisse
-Vous pouvez présenter la crème saupoudrée de persil ou de coriande haché

 

pâté campagnard

(un peu long, mais délicieux et trés économique, comparé aux pâtés en boîte)

Base du pâté
200 gr levure maltée (en magasin bio ou dans le rayon diététique du supermarché, ne pas confondre avec la levure de blé)
200 gr graisse végétael (bloc de graisse palme par exp, ou "vegetable ghee" dans les commerces indiens)
16 biscottes complètes

parfum (adapter selon vos goûts)
200 gr oignons émincés
200 gr champignons émincés
olives vertes
cornichons
herbes de provence en poudre

- faire revenir les oignons et les champignons, laisser cuire à létouffée 30 min
- à part, faire tremper les biscottes dans de l'eau, quand elles sont bien imbibées, les presser fortement pour éliminer leau
- les ajouter dans la cocotte ainsi que la graisse
- saler, mettre les aromates, les olives, (le tout émincés, bien sûr)
- laisser cuire en tournant sans cesse pendant une dizaine de minutes (l'onctuosité du pâté en dépend)
- hors du feu, ajouter les cornichons, puis la levure, bien mélanger et verser dans un moule, une terrine, un bocal, etc.

Laisser refroidir. Se congèle sans problème, surtout quavec cette recette il y a de quoi faire une terrine de pâté ou deux bocaux. On peut décorer avec des graines de sésame ou de courges.

caviar d'aubergines

(cuire, mixer, et c'est prêt !)

Ingrédients
3 aubergines moyennes
3 gousses d'ail émincées
300 gr de tahin (purée de sésame)
60 ml d'eau
350 ml de jus de citron
selon selon votre goût
2 cuill. à soupe d'huile d'olive
1 cuill. à soupe de persil frais

- Cuire les aubergines au grille en les retournant de temps en temps, jusqu'à ce qu'elles soient noires des deux côtés (environ 20 min). Enlevez la peau, placez la pulpe dans un bol mixeur et mixez bien.

- Emincez l'ail, ajoutez le tahin et mélangez bien avec le sel, l'eau et le jus de citron. Ajoutez aux aubergines et mixez jusqu'à obtenir une crème.

Vous pouvez présenter avec de l'huile d'olive sur le dessus et du persil haché, puis servir avec des tranches de tomates, des radis, etc.

 

tartare d'algues

(le plus long, c'est d'attendre que ça marine)

Recette de Hooly

Ingrédients
3 cas de mélange d'algues en paillette (en magasin bio, mélange "salade du pêcheur par exp.)
5 cas d'huile d'olive (ou de noix)
1 cas de câpres hachées
4 cornichons hachés
1 cas d'échalotte hachée
1 cas d'oignon haché
1 cac de sauce soja (ou du sel)
poivre

On mélange tout et on laisse mariner au moins 2 heures. Se conserve quelques jours au frigo. Parfait pour un apéro,  on peut aussi l'utiliser pour aromatiser du tofu à servir avec du riz et du citron, façon poissonnière...

 

brochettes

(délicieux ! ça donne envie de ressortir le barbecue)

Recette d'Etienne Valuet, de NOVEBIO

Ingrédients
tomates cerises
poivrons rouge et vert
tofu
seitan (acheté en magasin bio ou fait maison à partir de farine de gluten de blé)
oignon
herbes de provence

- Coupez les ingrédients en cubes ou tranches épaisses, alternez les ingrédients sur un pique de brochette

- D isposez sur une grille de barbecue ou sur un plat à four, saupoudrez d'herbes de provence et hop, enfournez, patientez et dégustez !

 

gaspacho

(rapide et rafraîchissant en été)

Ingrédients
1 kg de tomates bien mûres
1 poivron rouge
1 concombre
1 gros oignon
2 gousses d'ail
3 cuillères à soupe d'huile
le jus de 1 citron
1 dl de bouillon de légumes
sel et poivre

- Passez tous les éléments au mixeur, sauf quelques dés pour la déco.

- Ajouter l'huile, le jus de citron et le bouillon, et mélanger.

- Mettre au r éfrigérateur, et servir glacé.

 

vegan milkshake

(la boisson d'été la plus rapide de l'ouest)

Ingrédients
lait végétal (de soja, de riz, d'avoine, d'amande, etc., je préfère le lait de riz aromatisé à la vanille)
framboises surgelées (brisées, c'est moins cher qu'entières)

- Mélangez environ moitié de lait et moitié de fruits, mixez et c'est prêt !

 

rochers coco

(un dessert végétalien facile à réaliser et rapidement)

Ingrédients
150 gr de coco râpée
140 gr de sucre
10 gr de farine
1 cuill. à soupe de maïzena
6 cuill. à soupe de liquide (crème de coco, lait de soja, ou même de l'eau)

- Mélangez le tout, jusqu'à obtenir une pâte épaisse.

- Formez de petits pâtés (de préférence de la forme de rochers pour respecter la tradition, mais comme la tradition on s'en moque, vous pouvez faire des boules, des carrés, ...), disposez sur une feuille de papier sulfurisé, enfournez 10-12 min, jusqu'à ce que ce soit doré, à 210° (th.7)

 

 

 

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